Je suis arrivé a Marseille au printemps 2011. Etranger à son paysage et sa lumière, je me suis intéressé jusqu’à la fine du 2012 à la recherche d’une lecture de cette ville et une partie de son vaste territoire.
Je me suis aperçu tout de suite de sa variété des paysages, de son urbanisation polyforme, de son désordre, de son coté sauvage dehors et de dans la ville.
Un paysage complexe, souvent esthétiquement pas apaisants, une sensation constant de changement pérenne et a la fois d’incomplétude.